Le Groupement des Industries de Défense et de Sécurité Terrestres et Aéroterrestres (GICAT), représenté par son conseiller international, Marc-Henri FIGUIER, et son Responsable des Affaires Internationales, Théo GEANDREAU, a officiellement inauguré son nouveau bureau de représentation à Kiev, en Ukraine. Cet événement marque une étape significative dans l’engagement des entreprises françaises à soutenir les efforts de défense et de sécurité de l’Ukraine, en collaboration avec ses partenaires locaux. Ce mandat de représentation a été confié à Thomas MOREAU, nouveau représentant du GICAT en Ukraine et Directeur Général de Lafayette Risk Intelligence.
Un bureau pour renforcer les liens et les coopérations
Ce nouveau bureau a pour mission de :
- Représenter l’industrie française de défense et de sécurité et contribuer ainsi à établir une relation privilégiée entre la France et l’Ukraine ;
- Identifier les besoins spécifiques en matière de défense et de sécurité sur le terrain ;
- Mettre en relation des acteurs industriels français et ukrainiens pour favoriser des partenariats concrets et durables ;
- Accompagner les entreprises françaises dans leurs démarches en Ukraine, en assurant une présence locale identifiée de tous ;
- Soutenir l’Ukraine dans son effort de reconstruction.
C’est dans cette optique que le GICAT a renforcé ses partenariats locaux en signant lors de l’inauguration un nouveau Mémorandum of Understanding avec son homologue ukrainien FEU Defence (Fédération des Employeurs Ukrainiens de la Défense).
Une vision partagée
Marc-Henri FIGUIER, lors d’un discours inaugural, a rappelé que le GICAT était le premier groupement d’industriels de la défense étranger à ouvrir une représentation dans le pays.
Gaël VEYSSIERE, Ambassadeur de France en Ukraine, et Sergiy BOYEV, Vice-ministre de la Défense d’Ukraine, présents à cette inauguration, ont salué cette initiative et souligné sur l’importance d’une présence permanente et solide des industriels français en Ukraine.
« Ce bureau du GICAT est autant le bureau des entreprises françaises de la défense et de la sécurité que celui des Ukrainiens désireux de travailler avec nous. Il symbolise notre engagement à bâtir un partenariat mutuellement bénéfique, fondé sur la confiance. » Théo GEANDREAU, Responsable des Affaires Internationales du GICAT.
Un engagement de long terme
Depuis juillet 2023, le GICAT est fortement impliqué en Ukraine pour renforcer la coopération entre industriels, proposer des solutions technologiques adaptées et contribuer à la souveraineté et à la sécurité du pays. Avec cette implantation à Kiev, le GICAT affirme son soutien durable à l’Ukraine en cohérence avec la politique française depuis le 24 février 2022.
On parle de la Russie qui en est à 700 000 pertes et est enlisée dans une guerre d’attrition interminable ? Qui n’a plus les moyens de défendre ses intérêts en Syrie, et, par ricochet, est affaiblie dans les mers chaudes voire sur le continent africain ? Qui subit une inflation à 8,5 % malgré un taux directeur à 21% ? Qui doit aller chercher des combattants en Corée du Nord pour poursuivre son effort de guerre ?
Ou bien existe-t-il un autre pays du même nom qui est en train de remporter une victoire totale conformément à son plan de départ ?
C’est bien, ce bureau. La France a souvent du mal à concrétiser les fins de guerre en se saisissant des juteux contrats de reconstruction qui en découlent. Si on y arrive en Ukraine, c’est une évolution intéressante. Et méritée : on ne fournit pas des armes pour le seul plaisir de la défense de la veuve et de l’orphelin. On attend en général des contreparties.
Le général Guerassimov l’a annoncé récemment: pour la Russie, les pertes ukrainiennes se montent à un million de morts et blessés, ce qui donne une idée de ce que pourrait bien se cacher à eux-mêmes ukrainiens et occidentaux. Pour ce qui concerne la Russie, on en est toujours à environ 120 000 morts (Mediazona) en ligne avec toutes les estimations raisonnables, compte tenu de la différence des feux.
Guerassimov ajoute que l’Occident aurait fourni 6000 blindés à l’Ukraine. L’armée française c’est 2500 Leclerc, Griffon, Jaguar et Serval.
L’ampleur de l’abominable boucherie à laquelle l’Occident a condamné le pauvre pays en cours de démembrement et au final, de neutralisation forcée (ce qu’on aurait pu accepter dès le début) est ahurissante.
@François Carmignola, les chiffres que vous diffusez sont faux…. J’aimerai bien que l’AdT dispose de 2500 Leclerc, Griffon, Jaguar et Serval.