Ancien pilote d'hélicoptère sur Gazelle au sein de l’aviation Légère de l’armée de Terre (ALAT) pendant 18 ans cumulant 2 500 heures de vol.
Ancien combattant de la guerre du Golfe et de la Somalie.
Attaché Principal d’Administration d’État dans l’Éducation nationale.
Adjoint gestionnaire d’un établissement scolaire.
Commissaire aux Armées de Réserve (en attente d'affectation).
Membre de l’Union Nationale des Combattants de Saint-Paul-lès-Dax (Landes).
Historien chercheur pour l'ECPAD.
Historien "War Studies".
Spécialiste de la guerre d’Indochine.
A rejoint l'équipe rédactionnelle de THEATRUM BELLI en janvier 2024.
Combien de valeureux soldats disparus sacrifiés, une unité d élite, mon dieu cela me rend triste même si je ne les connaît à partir de témoignages.Navarre est il le seul responsable de ce massacre ?
Aucune issue ,pauvre soldat de métier, vous avez payé chère cette stratégie coloniale.
Merci beaucoup, M..PECCAVET pour ce document exceptionnel.
J’étais ignorant de ce fait que vous nous avez présenté et j’en suis à la fois stupéfait et écœuré.
Juste quelques question puisque je me suis retrouvé « en pélerinage » en 2010 à Dien Bien Phu en parcourant Dominique, Eliane, le PC GONO, etc…
Et maintenant ? On fait quoi ? alors que cette ville vietnamienne connaît une vaste expansion sur ce qui a été un vaste champ de bataille où sont morts d’innombrables de nos vaillants soldats, on les abandonne définitivement pour ainsi dire une deuxième fois ?
Là-bas, de mon triste constat, aucun cimetière de soldats français ou de leurs camarades de l’Union Française pour leur porter des fleurs alors que nous avons des cimetières chez nous où peuvent reposer des soldats allemands, signe d’un respect envers ceux qui sont tombés au front même d’uniforme différent.
Mais la plus grande question est : au final, nos gouvernements successifs ont-ils rapatrié leurs dépouilles ou même tenté de le faire ou le feront-ils ?
Si la réponse est négative, alors il n’y a plus rien à espérer d’un État et de son gouvernement si ces derniers n’honorent pas un soldat qui a fait le sacrifice ultime de sa vie en ramenant ses restes au pays.
Ah non, c’est vrai… la colère m’aveugle car il y a bien quelque chose là-bas qui existe et qui m’a saisie aux tripes : le monument élevé en souvenir de tous NOS soldats qui se sont battus pendant 55 jours dans des conditions épouvantables et y sont restés, morts. Et ceci uniquement grâce à la volonté incroyable de cet ancien sous-officier de la Légion étrangère, le sergent-chef Rolf RODEL du 3ème R.E.I.
Paix à son âme !
Bonjour, il est dommage que nous ne puissions disposer du schéma auquel fait référence le capitaine Belmont… cela aurait été intéressant pour pouvoir repositionner les lieux d’inhumation sur le terrain.
Combien de valeureux soldats disparus sacrifiés, une unité d élite, mon dieu cela me rend triste même si je ne les connaît à partir de témoignages.Navarre est il le seul responsable de ce massacre ?
Aucune issue ,pauvre soldat de métier, vous avez payé chère cette stratégie coloniale.
Honneur a ces militaires de grande valeur
Merci beaucoup, M..PECCAVET pour ce document exceptionnel.
J’étais ignorant de ce fait que vous nous avez présenté et j’en suis à la fois stupéfait et écœuré.
Juste quelques question puisque je me suis retrouvé « en pélerinage » en 2010 à Dien Bien Phu en parcourant Dominique, Eliane, le PC GONO, etc…
Et maintenant ? On fait quoi ? alors que cette ville vietnamienne connaît une vaste expansion sur ce qui a été un vaste champ de bataille où sont morts d’innombrables de nos vaillants soldats, on les abandonne définitivement pour ainsi dire une deuxième fois ?
Là-bas, de mon triste constat, aucun cimetière de soldats français ou de leurs camarades de l’Union Française pour leur porter des fleurs alors que nous avons des cimetières chez nous où peuvent reposer des soldats allemands, signe d’un respect envers ceux qui sont tombés au front même d’uniforme différent.
Mais la plus grande question est : au final, nos gouvernements successifs ont-ils rapatrié leurs dépouilles ou même tenté de le faire ou le feront-ils ?
Si la réponse est négative, alors il n’y a plus rien à espérer d’un État et de son gouvernement si ces derniers n’honorent pas un soldat qui a fait le sacrifice ultime de sa vie en ramenant ses restes au pays.
Ah non, c’est vrai… la colère m’aveugle car il y a bien quelque chose là-bas qui existe et qui m’a saisie aux tripes : le monument élevé en souvenir de tous NOS soldats qui se sont battus pendant 55 jours dans des conditions épouvantables et y sont restés, morts. Et ceci uniquement grâce à la volonté incroyable de cet ancien sous-officier de la Légion étrangère, le sergent-chef Rolf RODEL du 3ème R.E.I.
Paix à son âme !
Fermez le ban.
Bonjour, il est dommage que nous ne puissions disposer du schéma auquel fait référence le capitaine Belmont… cela aurait été intéressant pour pouvoir repositionner les lieux d’inhumation sur le terrain.
JLM