- Un dispositif dont les objectifs demeurent incertains.
- Un pilotage institutionnel et budgétaire peu satisfaisant.
- Une montée en charge à marche forcée malgré d’importantes difficultés de déploiements.
- Un dispositif non stabilisé et dont les perspectives doivent être clarifiées.
Mon âme retorse de financier avide, à l’affut de la moindre économie à l’heure où le pays s’effondre sous le poids de sa dette, suggère une chose simple: l’arrêt immédiat de cette stupidité inutile et dispendieuse.
Cela est bien en ligne avec la recommandation finale de la cour des comptes que mon humble proposition implémente avec une efficacité quasi militaire:
« Programmer et planifier l’évolution des moyens dans une trajectoire pluriannuelle cohérente avec
l’objectif de généralisation du Service national universel et appuyée sur une optimisation des coûts ».
– programmer et planifier… la décision de suppression
– une trajectoire pluriannuelle … 2024-…
– généralisation … de la suppression
– évolution des moyens … par leur suppression
Cela fera toujours 5 milliards de gagnés et sans doute bien plus en fait.