La formation militaire française demeure un réel vecteur d’influence parce qu’elle allie à la fois l’excellence des formateurs, la qualité de l’instruction dispensée, soutenue en métropole par une structure politico-militaire cohérente.
Elle n’en reste pas moins soumise à une concurrence croissante dès lors que la France agit au sein d’une coalition. C’est pourquoi le domaine de la formation nécessite aujourd’hui la mise en place d’une réelle coopération planifiée, au niveau stratégique, opératif ou tactique, entre sphère militaire, publique et privée.
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Lire également :
- Sur Theatrum Belli l’article daté du 16 juillet 2012 : La formation des armées étrangères : évolution des politiques et des pratiques des années 50 à 2010
- Le dossier complet de l’IRSEM sur la formation des armées étrangères co-écrit par Georges-Henri Bricet des Vallons, Florent de Saint Victor et Olivier Mazzucchi.
- Re-construire une armée nationale : L’exemple du Liban depuis 1958 (CDEF)