Ce type de comparaison a beaucoup été utilisé pour montrer le nouveau problème posé par les drones à bas coûts, notamment utilisés par les Houthis en Mer Rouge.
Cette asymétrie entre les coûts d’attaque et de défense cache deux éléments plus importants :
1- Le coût du missile ne représente QUE le coût de développement, de production et d’acheminement du missile. Mais cela ne comprend pas le destroyer qui les tire, l’équipage qui gère le système, le carburant et la maintenance pour le maintenir en mer, ainsi que le réseau logistique qui rend chaque tir possible.
Le coût réel est donc beaucoup plus élevé et l’asymétrie encore plus forte.
2 – Si ce coût permet de protéger une artère commerciale vitale et des navires qui valent bien plus que 2 millions de dollars, alors ce tir en vaut la peine.
Une analyse à retrouver sur War On The Rocks.






